Recherches de Gaëlle et Arthur PETIT en Polynésie

Après la disparition de Dominique, Arthur et Gaëlle Petit sur le voilier « Honu », le juge d’instruction de Papeete, Thierry Fragnoli, a relancé la piste d’une fuite du père de famille en diffusant vendredi un appel à témoin pour identifier les disparus. La famille de l’ancienne compagne de Dominique Petit ne veut pas croire au suicide.

Extrait de la Dépêche de Tahiti :  C’est un terrible fait-divers qui ressurgit cette semaine avec un appel à témoin diffusé vendredi par la gendarmerie. En juin 2010, Dominique Petit, âgé de 50 ans, disparaissait à bord du voilier « Honu » avec ses deux enfants, Arthur et Gaëlle, âgés de 2 et 3 ans. La piste du suicide a longtemps été privilégiée, mais les enquêteurs n’ont voulu exclure aucune piste. Une information judiciaire a été ouverte à l’époque et se trouve aujourd’hui entre les main du juge d’instruction Thierry Fragnoli.

Vendredi matin, à la surprise générale, la gendarmerie a diffusé un appel à témoin avec les photos des trois disparus. « Toute personne susceptible d’apporter des informations relatives à l’identification des personnes recherchées est invitée à se manifester auprès d’un service de gendarmerie ou de police au 17, au 40 47 92 09 ou par mail sur sr.papeete@gendarmerie.interieur.gouv.fr . » ou directement sur le site abgrall.info.

Reportage M6

Vidéo quotidien Le Télégramme

Disparition de Thiphaine VERON

Le 29 juillet 2018 en fin de matinée, dans la ville de Nikko,  à environ 150 km de Tokyo, Tiphaine Véron disparaissait.

Jeune femme de 36 ans, elle effectuait son deuxième séjour au Japon. Son voyage, bien organisé, l’a amené à choisir un petit hôtel, le turtle inn à Nikko. Il est situé directement au pied d’un sentier piétonnier qui mène à deux sites touristiques qu’elle s’apprêtait à visiter.

Melle Tiphaine Véron est vue sortir de l’hôtel, seule. Elle ne possède pas de véhicule. Ses affaires et documents d’identité sont restés dans la chambre. Depuis cette date, elle a disparu.

Notre agence est saisie de cette affaire , en collaboration avec le Cabinet VEY & Associés,  13 rue de la Boétie 75008 PARIS  et l’antenne PJ de POITIERS – LA ROCHELLE.

N’hésitez pas à nous communiquer toutes informations que vous pensez utiles, cela directement ou non.

  • Agence JF Abgrall :                             ( +33 2.98.84.06.79 )
  • Cabinet Antoine VEY & Associés        ( +33 1.45.44.66.82 )
  • PJ POITIERS :                                    (+ 33 5.49.60.62.41 )

SEPT À HUIT LIFE – Magalie Part, les mystères d’un cold case

Près de 20 ans après la découverte d’un corps carbonisé en Haute-Savoie, en mars 2001, le mystère Magalie Part se dissipe. Qui a tué cette jeune fille de 18 ans, que s’est-il passé dans les dernières heures de sa vie ? L’analyse de Sandrine Wattecamps, psychocriminologue à l’agence ABGRALL, révèle nombre d’éléments orientant, démontrant un lien entre la victime et son ou ses agresseurs. Ces informations sont à ce jour exploitées par l’OCRVP ( of- fice central de la Police Nationale à Nanterre ).

Un documentaire retrace le combat acharné du père de la victime, qui nous a saisi.

Un extrait vidéo est disponible,  issu du replay de Sept à Huit life, émission d’information et de reportages hebdomadaire diffusée sur TF1 et présentée par Harry Roselmack ».

Lire le replay

Sandrine WATTECAMPS, psychocriminologue

Affaire Magalie Part – l’enquête relancée.

640

En mars 2001, le corps de Magalie, 19 ans, est retrouvé en partie calciné, dans une forêt proche de la frontière genevoise.  Les circonstances de sa disparitions, comme la nature des faits posent de nombreuses interrogations.

Suite aux nouvelles demandes investigations, le corps de cette jeune femme vient d’être exhumé pour de nouvelles analyses. C’est ainsi qu’un profil ADN masculin a été découvert et prélevé, ouvrant une voie vers l’identification de l’auteur de ce crime.

Cette affaire est suivie par Maître RIMONDI du barreau de THONON (74).

Suite à nos investigations, l’enquête a été confiée à l’O.C.R.V.P de NANTERRE et la Section de Recherches de Gendarmerie de Chambéry.  voir article du Parisien du 24 avril 2019.

Plus d’informations sur l’affaire en suivant ces liens:

SI VOUS POSSEDEZ DES INFORMATIONS SUR CETTE AFFAIRE, MERCI DE NOUS CONTACTER.

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Montigny, c’est bien lui

 

Après trois semaines d’audience à la Cour d’Assises de Versailles,  Francis HEAULME a définitivement été reconnu coupable du double meurtre de Montigny les Metz.

Ses versions successives et les divers témoignages recueillis ont permis de poser le scénario du crime.

Après nous avoir  déclaré en évoquant les crimes qu’il avait commis  :  « Un jour, dans l’Est de la France, je passe à vélo dans une rue. A gauche, il y a des maisons, à droite un talus. En haut, une voie de chemin de fer. Au bout de la rue, il y a un stop, des poubelles, à droite un pont. Deux enfants me jettent des pierres. Je pars et je reviens dans l’idée de les corriger. Je monte sur le talus et là, les deux enfants sont morts près des wagons. »

Il compétera, en disant avoir brisé sa chainé de vélo et avoir laissé sa bicyclette derrière l’entreprise proche. Puis, il expliquera comment il a fait le tour de la voie de chemin de fer pour rejoindre les enfants, toujours dans l’intention , selon ses mots, de les corriger. Qu’il est arrivé à leur niveau les surprenant par l’arrière et qu’il est tombé. Alors, ces enfants sont venus l’aider et il les a aussitôt saisis.  Francis Heaulme établira un plan précis de la scène de crime. Il décrira les vêtements que portaient ces petites victimes. Nous ne dirons rien de la cruauté du crime, qui lui est si caractéristique, mais qu’il expliquera à plusieurs codétenus. Enfin, quelques kilomètres plus loin, sur cette même voie de chemin de fer, il sera secouru par deux hommes, qui pensaient qu’il était blessé, car il avait le visage couvert de sang séché, bien que ne souffrant d’aucune blessure. ( Le sang de ses petites victimes ). Ignorant les faits, ces hommes l’avaient reconduit chez lui, ce 28 septembre 1986.

Lire article du Républicain Lorrain. ( Alain Morvan )